Texte et photo tirés du journal Progrès-Dimanche, du 20 mai 2007
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De gauche à droite : Martine Morissette (retraitée des Caisses populaires), les soeurs Danielle et Élise Migneault (fermières), Manon Lemieux (agricultrice), et Jacqueline Gravelle (membre du CA de la CMDRSM).
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4 commentaires:
Bravo ! a ces femmes de la communautée CMDRSM
D'autre avancerons dans le même pas.S'Affirmer comme femme est l,essence même d'une communauté Métis.
Michelle
En témoignant ainsi de vos origines, vous témoignez de l'héritage de nos aïeules. Vous témoignez de la suite du monde. Merci et bravo à vous les filles!
J'ai vrament aimé lire ces cinq femmes qui se sont affirmées femmes métisses libres dans leurs personnes et engagements. Elees démontrent du caractère et ce sont elles qui vont alimenter notre recherche métisse au SLSJ.
Roland Chénier
Étrange, est-ce qu'on ne disait vraiment pas qu'un petit bébé avait une mère ou un père d'origine amérindienne?
Quand même étonnant, je me demande c'est qui les vrais sauvages, lâ-dedans! Pourquoi est-ce que le code civil ne s'appliquait pas pour eux? Les indiens avaient-ils le droit d'être inscrits sur les certificats de naissance? Avaient-ils droit à un nom, à une identité québecoise, canadienne? Ou est-ce qu'ils ne voulaient tout simplement pas participer de celà?
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