« ... There are only two ways of dealing with the white man. One, either you pick up a gun, or you stand between the white man his money... »
Terry Nelson of the Roseau River First Nation told CTV Newsnet's Mike Duffy Live on May 15, 2007. »
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4 commentaires:
J'ai un petit commentaire pour ma part...
Un sentiment de tristesse m'envahit suite à ce constat et à la menace à peine voilée d'un été chaud au Canada. Quand le respect et la justice règneront-elles entre les nations au Canada et dans le monde? L'Histoire est bafouée et manipulée à leur avantage par les plus forts ou les plus riches ou les plus nombreux! Toujours les mautadits rapports de force! Quand deviendrons-nous donc civilisés et policés?
Absolument ! Comment pouvons-nous réclamer que justice soit faite et menacer de la transgresser du même coup ? Il y a quelque chose de très malsain de laisser entretenir cette sorte de rapports.
Et le pire des pires, c'est que, hormis le papier que j'ai signé voilà deux jours dans ce blogue et que j'ai expédié à la toute presse nationale, hormis ce papier personne n'ose exprimer sa désapprobation face à cette sorte de menaces. Personne.
Ce pays est vraiment malade de lui-même...
Russel-A.
Oui c'est vrai, Russel-A! Aucun groupe ou individu en autorité à quelque palier gouvernemental que ce soit (Fédéral ou Albertain)n'a déploré officiellement ces propos de M. Nelson et demandé de les retirer ou de les reformuler, ou nuancer!
C'est comme si les nations, les groupes, les peuples, les provinces, n'avaient d'autre alternative que la confrontation pour faire valoir leurs droits, résoudre les conflits. Exit la négociation!
Ce qui prévaut c'est la loi du plus armé ou du plus rusé ou du plus affamé! La violence ou la menace, qui est une forme de violence.
C'est sûr que si on baisse les bras devant cette régression de l'humanité, les conflits ne pourront jamais être résolus pacifiquement: ce sera l'escalade!
Quand on voit ce qui se passe au Moyen Orient, on devrait essayer une autre recette il me semble! Le gâteau ne lève plus avec cette recette-là.
Au Canada anglais, les amérindiens ont vraiment la vie dure, mais ce n'est pas une raison pour exprimer de tels propos. Si ce monsieur est chef, j'ai l'impresssion qu'il sera jugé par ses pairs et par tout le monde qui ont affaire à lui. Au Canada, ce n'est pas le type de rapport qu'on entretient avec les gens, du moins en haut lieu de commandement, en politique, en administration publique.
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