mardi, avril 29, 2008

Le chef de l'APNQ (Ghislain Picard) et le mépris du peuple Métis du Québec



Le chef de l'Assemblée des Premières Nations du Québec et du Labrador, affirme son impatience devant la lenteur des gouvernements à atténuer les effets néfastes de la pauvreté parmi les communautés qu'il représente. Pour faire bouger les choses dans le bon sens, il annonce sa présence à l'ONU, pour participer à une session de l'Instance permanente des Nations unies sur les questions autochtones. Dans une entrevue accordée à la Presse Canadienne, le grand-chef Picard s'y présente pour discuter des conditions de vie des autochtones au Canada.

Voilà pour le discours politique. Pour la réalité de ses propres engagements envers l'ensemble des peuples autochtones de la province de Québec, on repassera !

S'il est vrai que les communautés indiennes du pays en arrachent par les temps qui courent, il est cependant abusif de dire qu'il parle au nom de tous les « autochtones » du pays. Comme tous les autres chefs indiens du Québec, M. Picard aime bien confondre l'indianité dans l'autochtonie, et il prend bien soin de ne jamais évoquer ni la présence ni les souffrances du peuple Métis du Québec qui constitue, pourtant et ne lui en déplaise, l'un des peuples les plus méprisés et les plus pauvres du Québec.

Que Ghislain Picard parle au nom des Indiens qu'il représente est une chose bien noble en soi. Mais le faire au nom de... « tous les autochtones » du Québec, est à la fois inapproprié, abusif et démagogique. Quand il parle des souffrances des peuples Indiens, M. Picard, dit vrai et je l'appuie. Mais quand il évoque l'ostracisme dont est victime son peuple, je lui dits de revoir son propre discours car il parle des deux côtés de la bouche.

Pour l'acceptation du fait Métis par les Indiens, voici ce qu'écrit justement Ghislain Picard, le chef des Premières Nations du Québec, dans son livre « Kébec Québec », publié aux Intouchables le mois dernier (1er trimestre 2008 ), à la page 172 : « Le 14 juin 2007, en assemblée des chefs, l'APNQL a adopté une déclaration qui dénonce la Confédération des peuples autochtones et la multiplication des associations disant représenter les Métis. Dans cette déclaration, les chefs des Premières Nations du Québec affirment : « Les droits des Autochtones au Québec, notamment ceux protégés par la Constitution du Canada, sont uniquement ceux possédés par la nation inuite et les Premières Nations... »

Mettez-ça dans votre calumet et tirez-en vos propres conclusions !...

Russe Bouchard

9 commentaires:

Anonyme a dit...

Je commence à comprendre que les Amérindiens habitant des réserves ou territoires autochtones ancestraux se servent de celà, couplé aux lois qui les avantagent, pour réclamer toujours plus de d'argent et de droits basés sur la pureté de leur race, se prétendant les seuls et uniques descendants des amérindiens d'Amérique, et faire croire au Canadiens qu'ils forment des gouvernements légitimes, sinon une monarchie probalement influencée inconsciemment par la tête d'indien couronnée d'un beau chapeau de plumes sur les 30 sous (25 cents)et la fin des émissions à la télévision de Radio-Canada.
Instituer des lois racistes et discriminer des peuples fondateurs d'un pays, jusqu'à leur donner un petit lopin de terre en leur disant de rester là et réglementer la pureté de leur race, sans leur donner de citoyenneté et en les considérant comme mineurs, pour ne pas qu'ils dérangent, ça a un effet boomerang, et si ces lois et pratiques discriminatoires ne sont pas modifiées dans le bon sens ou abolies, c'est la sécurité et la souveraineté de notre pays qui sont en danger.
Il y a des choses que je ne sais pas, cependant, et que j'aimerais bien savoir; poser une ou quelques questions est facile, mais les réponses ne sont jamais simples, je sais, et je ne m'attend jamais à une réponse claire, mais c'est la question qui compte.
Il me semble que certaines tribus ou nations amérindiennes avaient collaboré avec les colonies françaises et anglaises, au point de porter allégeance aux souverains des ces deux royaumes, successivement; si tel était le cas, c'est qu'ils étaient d'accord à ce que leur territoire devienne partie intégrante de ces royaumes, et qu'il leur était accordé la citoyenneté en échange, au même titre que les colons français et anglais, successivement, puis canadiens par la suite. D'un autre côté, on peut supposer, théoriquement, que d'autres tribus ou nations ne collaboraient pas du tout avec les colonies, et n'avaient donc jamais porté allégeance aux royaumes de France et d'Angleterre, ni à la Couronne canadienne par la suite, et donc ne pouvaient, par le fait même, leur avoir cédé leur territoire, et conservaient donc leur souveraineté amérindienne propre à leur tribu ou nation dans le contexte de ce temps-là par rapport aux autres tribus et nations qui les reconnaissaient tels.
Dans ce contexte, purement théorique, comme modèle d'interprétation, disons, le fait que les colonies, et le Canada par la suite, s'aient accaparé l'ensemble des territoires habités par les Amérindiens et Inuits, sans distinction qu'ils aient porté allégeance ou non, et donc qu'ils aient cédé leur territoire ou non, et acquis la nouvelle citoyenneté ou non, il n'est pas étonnant qu'on aie des problèmes permanents en regard de la gestion des territoires et de la citoyenneté amérindiennes.

Comment se fait-il que certaines Nations amérindiennes, cantonnnées dans des réserves ou des territoires ancestraux propres, en viennent à contester l'intégrité territoriale des provinces, et à réclamer des redevances sur les ressources en plus?

Serait-ce là le cas, justement, de Nations qui n'auraient jamais porté allégeance aux colonies ni au Canada, et donc n'auraient d'autre citoyenneté que celle qui leur est ancestrale?

Ou de Nations qui auraient porté allégeance et qui auraient donc déjà cédé leur territoire à la Couronne coloniale ou Canadienne et acquis la pleine citoyenneté canadienne, mais qui voudraient profiter de la confusion des Canadiens pour réclamer des droits différents des autres canadiens, et leur extorquer de l'argent en plus, sous toutes sortes de prétextes, et même des territoires qu'ils auraient déjà cédé auparavant?

Comment se fait-il que les regroupements nationaux ou provinciaux d'Amérindiens aient une politique anti-provinciale ou anti-canadienne, sans distinction de savoir s'ils ont déjà, ou non, déjà porté allégeance aux Couronnes coloniales ou à la Couronne canadienne?

Quelles sont les Nations amérindiennes qui sont des canadiens et quelles sont les Nations qui n'ont jamais été des canadiens?

Quand une Nation amérindienne porte allégeance, son patrimoine ne devient-il pas celui de tous les canadiens, sans distinction de race ou de langue?

Pas facile à comprendre! D'où l'importance de s'informer le plus qu'on peut, comme sur des sites comme celui-ci.

Anonyme a dit...

Le 29 avril 2008.

De: Jean-Pierre Plourde...

Rép. A Russel-A et Marcel Sylvain Tremblay.

Le terme d'autochtones, n'est pas adéquat, on devrait plutôt parler de premières nations, et nous en sommes également de ces premières nations.

Le terme autochtones réfère à des gens qui sont nés et qui ont toujours vécus sur un territoires donné, mon père, mon grand-père, son grand-père et moi-même avons toujours vécu ici, le terme d'autochtones s'applique donc aussi bien à Russel-A, à moi-même et à vous.

Le terme le plus adéquat serait de parler d'Amérindiens.

Il ne suffit pas que quelques huluberlus se prétendent les représentants d'un peuple pour qu'ils représentent réellement ce peuple. Nos représentant dans l'approche commune en sont un bel exemple, réf. l'affaire Yves Fortier et RioTinto sur akakia.blogspot.com

Corrigez-moi si je me trompe mais il y a environ une douzaines de communautés amérindiennes au Québec qui représentent moins de 1% de la population globale du territoire.

Dans les circonstances, c'est la démocratie qui peut maintenir la paie sociale sur ces territoires et non la mise sous tutelle de la masse des 99% des citoyens dépouillée de ses actifs, présentement indifférente et inconsciente du sort qui sera réservé à ses enfants.

La fédération cherchera par tous les moyens à camoufler l'histoire comme elle l'a fait avec la commission Gomery. Elle n'a pas autorisé cette commission à s'interroger de trop près à ses propres magouilles et aux millions qu'elle a investis contre nous au cours du référendum de 1995. Elle continue d'investir des millions par une foule d'autres moyens comme l'immigration à saturation, la fermeture des forêts, la privation de nos droits de citoyens par le transfert de la propriété de nos territoires à des minorités et notre mise en tutelle.

Il y a contrôle de l'information afin de maintenir la masse dans l'ignorance, j'en ai fait la preuve sur saglacweb.com.

Un sentiment de peur est entretenu chez les Québécois par des menaces de réactions violentes du Canada à notre endroit, citation, "on était en guerre" Charles Guité à la Commission Gomery et Jean Chrétien qui en a rajouté, belle démocratie! De tels gestes de menaces seraient rejetés par la communauté internationnale et on a pas le courage de les dénoncer et de se prendre en main.

Seuls des citoyens informés ont les moyens d'assumer leur avenir et de réagir aux abus de ses dirigeants, il faut se tenir debout tous ensemble.

Nous en sommes là voyez-vous.

Les Ukrainiens et beaucoup d'autres peuples de l'ancienne Russie l'on compris eux..., incluant le peuple russe lui-même qui s'est soulevé en bloc.

Au sujet de M. Ghislain Picard.

Quelques chefs amérindiens se payent les tribunes de l'ONU pour nous humilier sans qu'on y soit pour se défendre.
On nous fait porter le chapeau du racisme et le poète M. Richard Desjardins y participe. Le bien être de toutes les communauté amérindiennes ne revient pas seulement aux blancs, ils ont un rôle plus important que le notre à jouer envers leurs frères de sang. À l'échelle de l'humanité sur terre, nous sommes tous des frères et les Québécois font leur part sous la forme de milliards en redevances! Ou sont détournés toutes ces ressources?

Est-ce que l'approche commune va régler le problème de pauvreté de certaines communautés, amérindienne? Il y en a aussi des communautés non amérindiennes qui ne sont pas très riches et dont on ne parle pas! Poser la question c'est y répondre.

On a les moyens de se défendre sur les mêmes tribunes. Lorsqu'on ne le fait pas, on encourage la propagande et le racisme et on s'attire des ennuis.

Si notre gouvernement québécois n'accepte pas le chapeau de nous défendre à l'ONU, alors il est urgent de lancer un appel à tous les francophones d'Amérique, vendre des cartes de membres et de collecter des fonds pour s'en occuper soi-même.

Les doléances des francophones d'Amériques devraient se retrouver sur les mêmes tribunes et toutes ces malversations devraient-être dénoncées à l'ONU pour défendre nos propres intérêts.

Note:
Un de mes textes est publié dans le journal le Quotidien de ce mardi 29 avril 2008, p. 11, en bas des commentaires de Myriam Ségal sur les pétrolières.

Le journal lui a donné le titre de: L'Approche commune face au monde, c'est un résumé du texte: Le Québec sous tutelle que vous retrouverez sur saglacweb.blogspot.com.

La publication de ce texte sur un tier de page constitue une évolution des mentalités. J'en suis reconnaissant au Quotidien.

Ce texte mordant n'aurait pas été considéré et encore moins publié il y a seulement un ou deux ans, j'en suis convaincu...

En conclusion:
Nous ne pourrons réussir que par la diffusion de l'information et l'unification des forces vives de nos milieux.

On peut y arriver car l'arnaque est évidente et la logique impose la réaction d'une population informée qui n'aura plus le choix, se prendre en main ou mourir...

Un peuple informé a les moyens de se rendre à l'ONU pour défendre le droit des francophones d'Amérique. Hors Québec, il y a d'autres millions de francophone comme nous disperçés en terre d'Amérique qui souhaitent préserver leur culture, pourquoi personne encore n'a pensé à nous offrir cette tribune, il y a de la place pour une telle organisation.

Les gens qui se tiennent debout sont les gens qu'on respecte....

On a pas à demander la permission à son voisin pour s'affirmer et se prendre en main.

Jean-Pierre Plourde,
saglac@gmail.com
saglacweb.blogspot.com
saglacweb.com

Anonyme a dit...

De : Marie Mance Vallée

1) À l'article 35 de la Constitution, il est bien question de « peuples autochtones » dont les Inuits, les Indiens et les Métis. Ne sommes-nous pas toujours, et par décision unilatérale de la Cour suprême du Canada, puisque le Québec n'a jamais signé ce papier en 1982,toujours soumis à cette Constitution? Je pose la question.

Faut-il s'en tenir à cette appellation de la Constitution? Il semble bien que les Indiens désirent se démarquer en insistant sur le titre de « Premières Nations ».

Max Gros-Louis, Chef de la Nation huronne, à l'émission de Lepage dimanche dernier a insisté sur le fait que seuls les Inuits et les Métis étaient des « autochtones ». Quant à eux, les Indiens, ils seraient des Premières Nations. Quand j'ai entendu ce propos, je me suis dit que les Inuits devaient être très heureux de les entendre... Le Chef Gros-Louis s'est-il trompé? En tout cas une chose est certaine, ce propos n'aidait pas à la compréhension des choses auprès de la population québécoise qui, je dirais, n'y comprend rien ou ne veulent rien comprendre dans ce dossier, y compris nos politiciens. Enfin!

2)M. Plourde a raison, nous pourrions y ajouter les Canadiens français. Bruno Vallée a démontré dans des travaux sérieux que les Canadiens français étaient des autochtones qu'il a appelé les «Autochtones français».

Je vous transmettrai, M. Plourde, les documents en question. Ils vous conforteront sans doute dans votre idée sur la définition de l'expression « autochtone ».

Comme d'habitude, on entretient la confusion pour mieux nous berner et nos politiciens de tous les partis sont de connivence tels hier les Georges-Étienne Cartier et maintenant tous les autres vendus contemporains.

Anonyme a dit...

"L'Approche commune face au monde
Le Quotidien - 29-04-2008 - 426 mots
pourrait devenir le Québec comme plaque tournante entre le Marché commun européen et l'ALÉNA. Je suis assuré que les emplois ne manqueraient pas! Jean-Pierre Plourde Saguenay saglac@gmail.com"
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"L'Approche commune face au monde
Le Quotidien - 2008-04-29
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Pour ceux qui voudraient (ou qui auraient besoin de) l'original, utile pour des droits d'utilisation dans les règles, mais on peut aussi le lire gratuitement sur le site de monsieur Plourde, je pense.

Bravo monsieur Plourde, votre message commence à passer, et si vous avez des commentaires, bons ou mauvais, ce sera bon signe.
Les descendants de la colonie française en Amérique se regroupent déjà d'une certaine manière dans les organismes de généalogie, et puis dans les fêtes commémoratives, comme cette année la Fête du 400ième anniversaire de Québec, et puis les fêtes ou retrouvailles acadiennes, comme récemment j'ai vu au sujet de Louisbourg en Nouvelle-Écosse (il paraît que les anglophones de l'endroit ignoraient à peu tout de cette histoire, et ils étaient heureux de l'apprendre, et fraternisaient en même temps avec les Acadiens) et l'Île St-Jean, devenue depuis l'Île du Prince-Édouard, lieu d'un massacre et d'une déportation épouvantables, paraît-il. Je vais me renseigner davantage là-dessus, éventuellement, car je n'en sais a peu près rien. Cependant, je sais qu'on n'aime pas beaucoup les francophones là non plus; j'en ai eu l'expérience quand j'y ai été travaillé au tabac comme travail d'été en période scolaire.
Ce n'est évidemment pas insensé de vouloir faire respecter nos droits comme peuple fondateur autant des États-Unis comme du Canada, d'ailleurs. Comparativement aux Amérindiens, on a l'avantage d'avoir couvert pratiquement toute l'Amérique du Nord, au nom du Roi de France, alors que les Amérindiens n'avaient pas une influence d'aussi grande envergure, cantonnés qu'ils étaient à leur territoire traditionnel ou ancestral de de chasse, pêche et cueillette, ou d'agriculture, à part la Confédération des Cinq (si je ne me trompe) Nations Iroquoises ou Mohawks, qui commençaient à couvrir politiquement et militairement tout le territoire des Grands-Lacs et au-delà, je pense.
Comme on le mentionne souvent sur ce site, et comme je l'écoutais aussi aux émissions historiques d'un monsieur Bouchard, dont je ne suis plus sûr du prénom, Serge, je pense, à la radio de Radio-Canada, les francophones qui ont exploré, colonisé et défendu l'Amérique du Nord devaient se marier avec des Amérindiennes, car c'est sûr qu'ils ne pouvaient pas, bien souvent ou la plupart du temps, amener avec eux femme et enfants dans des explorations et tâches aussi périlleuses. Les traces des francophones sont partout en Amérique, il y aurait même une Nation amérindienne en Louisiane qui parle français, encore aujourd'hui. Cependant, nos droits sont bafoués, et souvent, l'histoire enseignée en classe aux jeunes Américains et Canadiens-anglais commence avec la colonisation britannique; je lisais cependant dernièrement, sur un site, que les États de la Nouvelle-Angleterre avaient auparavant des programmes d'enseignement du français au primaire auparavant, mais que l'intérêt ou l'utilité se fait moins sentir, aujourd'hui, alors que tous les Américains se considèrent pratiquement uniquement comme de descendance anglophone.
Quoi qu'il en soit, les origines françaises en Amérique du Nord sont évidemment bafouées, et il ne serait sûrement pas inutile d'avoir quelques organismes de défense, comme un dont j'ai dernièrement entendu parler au Québec, dont je ne me souviens plus du nom, qui jouerait un rôle semblable à ceux qui défendent les juifs, les personnes de race noire, etc.; on y parlait d'un certain responable canadien anglais de hockey olympique, qui aurait traité les hockeyeurs francophones d'une vilaine expression.
C'est sûr qu'il y a de la place pour ça, monsieur Plourde, et sûrement que d'autres gens en parlent aussi, ailleurs.

Au sujet du commentaire de madame Vallée, je dirais que, quand une Constitution est confuse, et même pas acceptée par l'ensemble des provinces, imaginez-vous comme les Canadiens peuvent se sentir confus eux-aussi.
Pour ma part, je trouve honteux que ces caractéristiques racistes (Autochtone, Indien, Inuit) soient inscrites dans notre Constitution, de quoi semer la pagaille pendant tout le temps que ce ne sera pas pas modifié, encore.
Je pense qu'on peut donner des droits à tout le monde sans marquer personne d'un signe distinctif, pour le discriminer ou l'avantager.

Anonyme a dit...

Bonsoir,
Lorsque le chef Max Gros-Louis dit:
(seul les Inuits et Métis sont des
Autochtones) et que les Indiens
sont des premières nations j'ai pas
de problème avec ca.
Car se faisant il s'exclut et exclut les nations amérindiennes
par ses propos de l'article 35 de
la constitution Canadienne,laquelle
a force et préséance garantisant
les droits aux peuples autochtones
reconnu au Canada.
La constitution et ses articles sont écrit ont été adoptés et aprouver alors il peut bien se dire
première nation, les Autochtones
sont inscrits et reconnus dans la
contitution Canadienne et les Métis
en font parti.
Tout ca ne vise qu'à minimiser l'impact des métis au Québec et d'étouffer le fait ou la réalité
du métissage que Stéphane Rousseaux
s'apprêttait à mettre en contexte
viviment récupérer par Max Gros- louis et récupérer par Ghislain
Picard,avec ses bureaux à Wendake
normal fonction public oblige sa
capital fédéral...
La pogner vous!

Anonyme a dit...

Aujourd'hui 4 mai 2008,
RÉFÉRENDUM ILLÉGAL SUR UNE APPROCHE COMMUNE, EN BOLIVIE

La Bolivie fait face, aujourd'hui 8 mai 2008, à une sorte de référendum semblable à l'Approche commune qu'on a ici, mais complètement à l'inverse, dirait-on, ou contraire, les éléments du problème étant comme complètement à l'envers. Ce pays a une majorité aborigène ou indienne, et est dirigé actuellement par un parti qui leur est représentatif, semble-t-il.
D'abord, il n'y aurait pas de ministère ou organisme gouvernemental représentant les non autochtones, comme l'indique cet extrait d'une mission sénatoriale française:

"Il a pourtant existé au sein du gouvernement bolivien, depuis 1994, un "ministère des Affaires indigènes et des peuples d'origine". Ce qui a amené un des militants indiens les plus en pointe, Felipe QUISPE, à remarquer que tout le monde serait choqué si de la même manière était créé un "ministère des Affaires des Blancs et des Métis"."
Bolivie et Paraguay : de la nécessité de participer au désenclavement. Rapport de mission / Fait au nom du groupe interparlementaire d'amitié France-Amérique du Sud sur son déplacement en Bolivie et au Paraguay du 10 au 19 septembre 2006, Présenté par MM. Roland du Luart, président du groupe, Sénat, France - Rapport de groupe d'amitié n° 70 (2006-2007),14 mai 2007 - Extrait tiré de l'introduction de l'annexe 1, La "question indienne" en Bolivie... et au-delà

Et puis, il y a une province, Santa Cruz, qui est presqu'aussi grande que la moitié du pays (voir la carte sur la même référence), comme ici le supposé pays Innu, qui revendiquerait la propriété des ressources naturelles, par classe sociale supérieure interposée, c'est-à-dire que ce n'est pas la province comme tel qui réclamerait cela, mais cette classe privilégiée elle-même, habitant en ville, et qui voudrait donc avoir le contrôle là-dessus, autrement dit.
Et donc, comme résultante de cette revendication, ce serait cette classe privilégiée qui organiserait ce référendum aujourd'hui, considéré illégal, et qui semble causer beaucoup de troubles.
Maintenant, je ne suis pas sûr qu'il soit organisé seulement en ville ou seulemnt parmi la classe privilégiée, car je ne fais que commencer un peu à lire là-dessus.
Voici quelques liens, quoi qu'il en soit, si intérêt vous y voyiez:

Un référendum sur l'autonomie à Santa Cruz divise les Boliviens / Paulo A. Paranagua, Le Monde,
Article paru dans l'édition du 04.05.08.


Opinion
La Bolivie à la croisée des chemins / Denis Langlois - Le Devoir,
Édition du samedi 03 et du dimanche 04 mai 2008


Je ne voudrais pas faire de rapprochements impropres, car je ne suis pas encore très au courant, ni spécialiste en politique, de toute façon, mais j'ai tout simplement l'impression que, quand c'est légal, un référendum sur l'appropriation des richesses par une minorité, c'est correct, comme ici, et quand ce n'est pas légal, comme actuellement en Bolivie, ce n'est pas correct.
Je n'en sais guère plus pour commenter davantage, pour le moment.

Anonyme a dit...

ORGANISMES DE LA FRANCOPHONIE AU CANADA
en regard de l'interrogation de monsieur Plourde.

Le Secrétariat aux affaires intergouvernementales canadiennes s'occupe de la francophonie au Canada, et a beaucoup de références sur la page consacrée à sa politique:

Francophonie / Secrétariat aux affaires intergouvernementales canadiennes, Québec

Notamment, en bas de page, dans la section Organismes, il y a des listes.
La question m'intéresse aussi, et bien des gens, à en juger par le nombre considérable d'organismes qu'on y trouve.

Anonyme a dit...

« M. Picard aime bien confondre l'indianité dans l'autochtonie, et il prend bien soin de ne jamais évoquer ni la présence ni les souffrances du peuple Métis du Québec qui constitue, pourtant et ne lui en déplaise, l'un des peuples les plus méprisés et les plus pauvres du Québec ».

Elle est bonne celle-là! C’est carrément malhonnête ce que vous avancez. R.B., allez donc faire un tour sur les sites de statistiques. Celles sur les autochtones sont assez décourageantes. Par contre, chez-vous, tout le monde a l’air de travailler!

Anonyme a dit...

Non signée, votre intervention est nulle et sans avenue. C'est le tribut que les « anonymes » doivent payer à leur lâcheté.

Russel-A. Bouchard